Dans la mythologie romaine, Cupidon, fils de Vénus, est le dieu de l'amour. Il présente la même origine et la même histoire que le dieu grec de l'amour
Cupidon, d'après le plus grand nombre des poètes, naquit de Mars et de Vénus. Dès qu'il eut vu le jour, Jupiter, qui connut à sa physionomie tous les troubles qu'il causerait, voulut obliger Vénus à s'en défaire. Pour le dérober à la colère de Jupiter, elle le cacha dans les bois, où il suça le lait des bêtes féroces. Aussitôt qu'il put manier l'arc, il s'en fit un de frêne, employa le cyprès à faire des flèches, et essaya sur les animaux les coups qu'il destinait aux hommes. Depuis il échangea son arc et son carquois contre d'autres en or.
Cupidon est chargé par Vénus, jalouse de la beauté de Psyché, de rendre amoureuse la jeune fille du mortel le plus méprisable. Mais il tombe lui-même amoureux de Psyché. Il la rejoint la nuit, lui demandant de ne jamais chercher à connaître son identité. Piquée par la curiosité, Psyché profite du sommeil de son amant pour allumer une lampe mais celui-ci se réveille et s'enfuit. Elle parviendra à le retrouver au prix de toutes sortes d'épreuves.
La fable de Psyché (mot grec qui signifie « âme ») a inspiré Apulée[1], La Fontaine, le poète V. de Laprade, le grand peintre Baron Gérard, etc.
Il n'est pas rare de le voir représenté auprès de sa mère qui joue avec lui, le taquine ou le presse tendrement contre son cœur.
Il arrive aussi qu'il soit représenté sous les traits d'un jeune homme adolescent, avec les mêmes attributs
Il s'agit de l'expulsion du sperme, le plus souvent accompagnant l'orgasme.
Chez l'homme, l'éjaculation s'accomplit en deux phases :
Le volume normal d'une éjaculation est compris entre 2 à 6 mL : au delà de 6 mL, on parle d'hyperspermie, en dessous de 2 mL, on parle d'hypospermie.
En général, le pénis perd son érection après l'éjaculation.
Lors de la puberté, les premières éjaculations peuvent avoir lieu sans émission de sperme, sa production n'étant pas encore fonctionnelle.
En dehors d'une stimulation sexuelle active, l'éjaculation peut se produire pendant le sommeil ; on appelle parfois ce phénomène « émission nocturne » ou « pollution nocturne ». Ces éjaculations peuvent se produire à partir de l'adolescence et moins fréquemment au cours de l'âge adulte ; elles sont considérées comme normales. L'éjaculation nocturne correspond souvent à un rêve érotique. Enfin, il n'y a pas de corrélation entre l'abstinence sexuelle et leur fréquence.[réf. nécessaire])
L'éjaculation est généralement concomitante à l'orgasme. Cependant, les deux ne sont pas forcément liés. Il est courant d'éjaculer sans orgasme (c'est souvent le cas des éjaculations précoces) et
il est aussi possible d'avoir des orgasmes sans éjaculer. Déjà enseigné dans certains écrits tantriques et taoïstes, cet apprentissage permet à l'homme de ne pas perdre son érection après un premier orgasme sans éjaculation (on parle d'injaculation, d'étreinte réservée,
d'orgasme sec, de coup sec…) et de devenir multi-orgasmique[1].
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